Historien de l'art

Cécile Beuzelin

Cécile Beuzelin

2008-2009
2008-2009

Cécile Beuzelin
Période: 2008-2009
Profession: Historien de l’art Cécile Beuzelin est née le 26 septembre 1979 à Pointe-à-Pitre. Dès ses premières recherches, elle s’intéresse à la peinture italienne de la Renaissance, en particulier à la période dite « Maniériste » et au peintre florentin Jacopo Pontormo (1494-1557). En 2001, elle soutient son mémoire de Maîtrise à l’Université François Rabelais de Tours et au Centre d’Études Supérieures de la Renaissance de Tours (C.E.S.R.), intitulé :
Le Capriccio chez Jacopo Pontormo (1494-1557) . En 2002, elle obtient son D.E.A. de Civilisation de la Renaissance, dans lequel elle s’intéresse à la place des arts éphémères dans la peinture « maniériste » florentine :
L’éphémère et le permanent : apports, liens, passages dans la peinture florentine du début du XVI e siècle . Fin 2007, Cécile Beuzelin soutient sa Thèse de doctorat à l’Université de Tours et au C.E.S.R., sous la direction du Professeur Maurice Brock, intitulée
Des décors de fêtes à la fondation de l’ Accademia Fiorentina
: la culture des peintres florentins dans la première moitié du XVI e siècle .
Elle obtient pour mener sa thèse la Bourse de recherche de la Région Centre (3 ans), une Bourse Bilatérale d’études et de recherches (France/Italie) et une mission de recherche en Histoire de l’Art de l’École française de Rome. En 2008, elle est admise pour 18 mois au titre de Pensionnaire en Histoire de l’Art à l’Académie de France à Rome-Villa Médicis. Dans son projet romain, Cécile Beuzelin souhaite analyser les échanges artistiques entre Florence et Rome au début du XVI e siècle (1494-1527). Ce projet vise à mieux saisir l’apport de la peinture romaine dans la peinture florentine et à aboutir à une reconsidération du « Maniérisme » comme art de la référence. La démarche de Cécile Beuzelin se fonde sur l’étude de la circulation concrète des artistes et des œuvres entre les deux villes et sur l’étude du marché de l’art. Ainsi, elle étudiera en particulier : la place du réseau commercial florentin à Rome au début du XVI e siècle, les réseaux sociaux et culturels romains et les artistes « itinérants » et leurs œuvres entre Rome et Florence.

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